La filature de Piquet (Le Tablier)
En longeant les berges de l'Yon, on découvre les ruines de la filature de Piquet. Cette usine n'aurait fonctionné que quelques années, pourquoi ?
Les Vendéens de 93 à la cathédrale de Luçon ?
Une gravure allégorique, signée M[aurice] de La Pintière, artiste vendéen, représente une longue file de Vendéens, avec femmes et enfants, certains une faux emmanchée droit à la main, d’autres un drapeau et, le plus visible, un chapelet. Cette curieuse procession pénètre dans la cathédrale de Luçon.
De quel ouvrage cette gravure est-elle tirée ? De quand date-telle ?
Une découverte singulière à La Caillère-Saint-Hilaire : la matrice d'un sceau
La matrice d'un sceau a été découverte à La Caillère-Saint-Hilaire. On y voit trois soleils, posés deux et un, et au centre un écu de vair. La légende n’a été qu’en partie déchiffrée, on distingue les mots : « Guy Poussart ».
Pouvez-vous aider le découvreur à lire la suite ?
Si l’appartenance à Guy Poussard se confirme, que savons-nous de lui ?
Comment expliquer la présence de cette matrice à La Caillère-Saint-Hilaire ?
Les faux des Vendéens de 1793
Aux premières heures de l'insurrection de 1793, les Vendéens s’armèrent de bâtons, de piques, de faux emmanchées à rebours, de fourches aiguisées, de couteaux et, bientôt, de fusils et de baïonnettes prises sur l'ennemi.
Un internaute, intrigué par la mention récurrente de faux emmanchées droites, s’est demandé comment les insurgés redressaient la hampe de leur outil et propose une hypothèse. La partagez-vous ?
Connaissez-vous des témoignages (pièces officielles, correspondance, textes littéraires…) sur la fabrication de ces armes redoutables ?
Des fosses en pierres à Saint-Georges-de-Montaigu
Quatre fosses en pierres, de dimensions différentes, sont creusées dans le bourg de Saint-Georges-de-Montaigu.
Quelle était leur utilité ? A quelle époque ont-elles été érigées ?
Merci pour toutes les informations que vous pourrez apporter.
Les dalles funéraires à blason de La Chapelle-Achard
L’église de La Chapelle-Achard a été construite au XIe siècle, puis remaniée à plusieurs reprises : au début du XIIIe siècle, au début du XVIIe siècle et à la fin du XIXe siècle.
Elle a conservé dans le chœur cinq belles pierres tombales ouvragées en granit, où inscriptions et blasons se mêlent. Ces stèles datent du XVIIe siècle : l’une est de 1633, une autre de 1686, d’après Rendez-vous place de l’église, de P. Loizeau et G. Phelipot (p. 184).
Une épée, posée en travers de la dalle funéraire, est gravée sur ces pierres. Quelle en est la signification ?
Les défunts sont-ils identifiés ?
Merci de votre aide.
Un objet archéologique en cuivre découvert aux environs des Essarts
Un objet archéologique a été retrouvé sur un chantier aux environs des Essarts. Fabriqué en cuivre, il ressemble à un plat de 40 cm de diamètre avec un léger rebord. Après sa découverte, il a été fortement gratté afin de le nettoyer.
A quoi pouvait servir cet objet ?
Un "bénitier" à Saint-André-d'Ornay
Un bloc de granit, taillé et portant une inscription épigraphique, a été retrouvé en 2014 dans le jardin du presbytère de Saint-André-d'Ornay (La Roche-sur-Yon). De tradition orale, il s’agirait d’un ancien bénitier, peut-être celui de l'ancienne église ruinée à la Révolution. Quelle serait l'origine de cet objet ? Peut-on confirmer son usage ? Quelle est la signification des lettres qui y sont gravées ? Merci pour votre aide.